Stages

Stages avec Jean-François Pignon

Faire un stage avec Jean François, c’est un état d’esprit.

On est obligé de poser ses valises de soucis, son stress du quotidien et pourtant, le stage n’est pas de tout repos. Pendant deux jours, il faut complètement remanier sa relation au cheval.

Stages avec Jean-François Pignon

À qui sont destinés ces stages ? A tous. La preuve : se mêlent professionnels et amateurs, débutants et cavaliers confirmés, poulains et vieux Chevaux. Il y a bien sûr les curieux, ceux qui goûtent à toutes les méthodes pour mieux se faire la leur. Et puis, il y a les désespérés, ceux qui par trop d’amour se font dépasser par leur petits démons de 500 kg. Et puis, il y a tous les autres, des cavaliers simplement qui ne visent qu’une chose : le plaisir. Et pour avoir le plaisir, il faut avoir le contrôle. Alors, pendant quelques heures, Jean François va essayer de faire passer les valeurs qui, pour lui, sont capitales dans le dressage : la fermeté pour obtenir le respect, le calme et la justesse pour obtenir la confiance et la décontraction.

Stages avec Jean-François Pignon

Petit parcours du combattant pour donner confiance aux grands timides, les Chevaux passent sous les bâches, sur les bâches, montent et descendent des vans.

Stages avec Jean-François Pignon

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Et puis, délicatement apparaît le début de la liberté…

Stages avec Jean-François Pignon

Stages avec Jean-François Pignon

Mais faire un stage pour Jean François, ce n’est pas que ça: « J’ai mis des années à accepter de faire passer mon savoir, pour deux raisons. La 1ère c’est que je n’étais pas capable de transmettre parce que j’étais moi même dans l’analyse et la seconde est que je ne désirais pas faire passer ce que j’ai eu tant de mal à comprendre. Je voulais égoïstement préserver ce que je pensais être à moi. Et puis, lorsque mon ami Laurent Chehu m’a convaincu de donner un stage, ce fut pour moi une révélation. D’abord, j’ai compris des choses sur mon travail et mon dressage, car tout ce que je faisais par instinct, j’ai dû l’analyser pour le faire comprendre. Et puis, je me suis mis à aimer les gens. J’aime ce contact encore renforcé par toutes les émotions exacerbées, par la difficulté et la fatigue du stage. J’aime pouvoir aider certaines personnes prêtes jusqu’alors à baisser les bras. Je suis heureux de voir partir les gens avec le sourire! »